| Dernières réponses | |  J'ai recommencé à longer Hera en licol et à la marcher en licol, Calie a adopté un comportement de poulain: elle suit Hera! de loin, mais elle 'limite dans ses mouvements! Je vais peut-être pouvoir utiliser ça pour lui apprendre à obéir à la voix...
Et puis chaque jour je consacre un quart d'heure mini aux câlins, papouilles, massages, et elle apprécie, maintenant c'est elle qui veint les chercher! Et aujourd'hui elle est venue quémander des massages alors que j'avais le licol, on progresse...
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| | tous le sjours je suis venue, et j'ai tenté chaque fois de la toucher avec le licol. Peu à peu, elle accepte, elle comprend d'une part que je ne lâcherai pas prise, d'autre part que je ne lui veux pas de mal. Aujourd'hui j'ai ramené Hera, comme ça elles ont pu jouer à deux, et ensuite j'ai fait bosser Hera en main, enfin bosser c'est bcp dire, on a fait marcher en main, trotter en main, s'arrêter, tout en licol. Calie avait l'air intéressé mais ne s'approchait pas bcp, je crois qu'elle n'est pas encore suffisamment en confiance avec le licol. Mais au moins elle ne le fuit plus.
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| | aujourd'hui, après les coutumes habituelles, j'ai tenté, avec précaution et douceur, de toucher Calie avec le licol. Au bout de trois essais (où elle se sauvait comme une folle), elle m'a laissé frôler ses naseaux avec, je l'ai laissée tranquille après l'avoir câlinée. le licol est toujours dans son abri.
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| | (dsl de pas être venue chaque jour, je 'navais plus internet donc voilà, pardon  )
Chaque jour je viens voir la belle Calie, je la câline, lui montre le licol, et puis, au bout d'une semaine, elle vient d'elle-même poser le bout de son nez sur ma main alors que je tiens le licol dans cette même main. Je la félicite chaudement à la voix, la caresse doucement avec l'autre main. Elle se laisse faire, super!!!!!! on en est là, elle me fait de plus en plus confiance, recherche même ma présence de temps à autre, et quémande des caresses. je laisse toujours le licol dans l'abri pour qu'elle puisse vraiment l'intégrer comme objet de son environnement. au revoir ma belle!!!
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| | chaque jour j'ai câliné la belle, et lui ai remontré le licol. Maintenant, elle l'accepte près d'elle, masi je ne la touche aps encore avec, elle est encore trop sur le qui-vive. mais malgré cela je constate avec plaisir que quand j'arrive elle me rejoint au petit trot. 
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| | Aujourd'hui, je tente de rapprocher Calie du lico, voire de la toucher avec. En la massant en même temps que je tiens le licol, j'arrive à la détendre. Quand je l'approche de ses naseaux, elle fait mine de reculer, j'éloigne aussitôt le licol, recommence à la détendre. Pusi je secoue doucement le licou. Elle sursaute, gigote. Je continue à secouer le harnahcement, puis elle se calme. Dès qu'elle s'arrête, j'immobilise l'objet de sa peur et la cajole. Pusi ej recommence: nouveau sursaut, mais elle ne gigote pas longtemps. Je félicite encore, on sort joeu r un peu, se balader dans son grand pré. Puis je reprends le licol, et recommence. Cette fois, elle ne bouge pas! je la félicite à mort, puis rattache le licol au mur, remets une petite carotte dessus, et après l'avoir câlinée, je la laisse tranquille.
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| | aujourd'hui, j'étais trop heureuse en inspectant l'abri! la carotte qui était sur le licol n'était plus là! j'ai cajolé la belle, comme d'hab', puis je l'ai entraînée vers l'abri, elle me suit partout maintenant! Elle 'ma donc suivie gentiment, puis s'est arrêtée en voyant le licol. Je l'ai rassurée à la voix, elle s'est approchée. Arrêt à 1m. Elle se méfie. Je l'attire encore avec une carotte, elle approche, une fois qu'elle y est, je lui donne la carotte, puis lui montre le licol. Jer la masse en même temps. Elle se détend peu à peu, puis finit par rester zen même en regardant le licol. Je la laisse là-dessus!
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| | Aujourd'hui il me vient une idée: je vais attacher un vieux licol dans son abri! comme cela elle sera obligée de le côtoyer dans l'abri, mais celui-ci est assez grand pour qu'elle garde des distances. Dès que j'entre dans le pré, elle amorce une approche, mais s'arrête à la vue du licol. Elle maintient entre nous une distance raisonnable, me surveille. Moi je vais attacher le licol au mur, au niveau des naseaux de Calie quand elle est en position détendue. Puis je retourne la voir. je la caresse, la masse un moment, puis me balade dans le pré, comme hier. Elle me suit. Je m'arrête ensuite, m'asseois, sors mon portable. Je le pose sur mon gen,ou après avoir déclenché le vibreur. Calie s'approche, commence à le sentir, quand soudain le petit appareil se met à vibrer sur ma jambe! Calie fait un bond et est prête à s'enfuir, et moi j'éclate de rire. Cette réaction la surprend. Elle s'immobilise, regarde le portable qui bouge sur mon genou. Elle s'approche otut doucement, s'arrête, tend l'encolure. Elle est trop comique, à tendre la tête comme ça mais sans décoller les pieds du sol! je prends le portable et le rapproche doucement d'elle. Elle se méfie. Puis je caresse son nez avec la main gauche, pendant qu'avec l'autre j'arrête le téléphone. Elle est heureyse que ça s'arrête, et se met alors à l'inspecter en détail. Je laisse faire. Puis je sors du pré, vais chercher des friandises. Je lui en donne une quand elle vient me voir, puis je vais en mettre uen sur le licol. Elle me regarde le poser, puis s'en va. Je lui dis au revoir et m'en vais aussi. On verra demain si la friandise est toujours là.
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| | hier je n'ai malhereusement pas pu passer, mais quelqu'un d'autre a vérifié l'état du pré. Aujourd'hui j'y retourne, et fidèle à mon habitude, je me dirige vers l'abreuvoir pr vérifier qu'il n'est pas gelé ni sale. Et là, Calie s'élance au galop, me dépasse, et s'arrête net à l'abreuvoir. Là, elle me regarde, puis remue 'leau avec son nez, comme je le fais avec les doigts!  elle est trop forte! Ensuite, j'y vais à mon tour, lui souris, etb retire une à une les brindilles qui s'y sont déposées, puis je remplis l'abreuvoir. Calie n'aime pas trop le bruit qu'il fait, docn ça lui fera un tout petit peu d'avance. Ensquite je vais voir sa mangeoire, elle me suit, fourre son nez dedans, et secoue la tête comme pour bouger des saletés ( qu'il n'y a pas). Je lui mets quelques carottes dedans, puis vais voir son abri, qui est propre. Quelqu'un l'a déjà) nettoyé et paillé. Mais là encore, Calie me suit dans mon inspection. Je la câline un peu, puis repars, je me promène dans la pâture. Elle me suit gentiment, s'arrête quand je m'arrête, inspecte ce que je regarde. Elle est trop drôle! Après je vais chercher Hera, je lui mets son licol, sa longe, et l'amène dans le pré. Elle est douce et calme en longe, je compte sur elle pour dans un premier temps faire connaissance avec Calie. Ensuite elle pourra la rassurer si Calie a peur de la longe et qu'on n'avance pas. Calie l'observe avec méfiance. Je lâche ma jument, qui se roule avec délices dans la boue. Aïe. Ca va être horrible... Calie s'approche ensuite tout doucement, hera la regarde, puis se détourne, jugeant que Calie n'est pas agressive. Celle-ci en effet est pour l'instant calme et tranquille. Elle approche doucement ses naseaux de ceux de la trotteuse. Hera lui souffle amicalement sur le nez. Quelle perle cette jument! Calie semble apprécier ce contact chevalin et l'entraîne dans des petites courses et des jeux. Hera se comporte presque comme une mère, ej crois qu'elle fera une très bonne poulinière! Bref. Ensuite je rentre dans le pré, à un moment où les deux juments sont calmes, avec le licol de Hera. Calie s'éloigne aussitôt, mais s'interrompt dès qu'elle voit que sa copine me regarde approcher sans peur. Je caresse Hera longuement, lui remets son licol, vais chercher la longe. Hera me suit tranquillement. Calie nous observe attentivement. Je prends la longe et caresse Hera avec, puis l'attache au licol et vais rentrer la jument. je la brosserai plus tard. Calie m'attend quand je reviens. Je lui montre un licol, elle se sauve. Je le pose alors sur la barrière et vais jouer avec elle, et regagner sa confiance. J'ai un peu d emal mais finis par y arriver. Elle me suit jusqu'à la barrière, mais s'arrête à 5mètres du licol. Je prends des riandises et l'attire avec, mais malgré tout elle ne s'approche pas à moins de 2mètres. C'est pas mal pour aujourd'hui. Je la cajole encore un peu et la laisse tranquille. A demain ma belle!
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| | Aujourd'hui, j'ai eu l'impression que Calie se méfiait moins de moi. J'ai ramené une seule friandise, pour le début, puis je me débrouillerai sans... Je vérifie à nouveau son pré, et quand j'arrive à son abreuvoir, j'ai la surprise de l'entendre s'approcher... Elle me suit de loin, gardant tjs 4 mètres de distance, et après mon passage près de l'abreuvoir, elle va le voir à son tour, puis m'observe longuement, comme si elle se demandait pk je fais tout ça! idem pour la mangeoire et son abri. Ensuite je m'asseois près de l'abri, dans la même posture qu'hier. Cette fois, ele vient tout d esuite, mais en zigzagant, l'air de rien. Quand elle arrive près de moi, elle prend la friandise quye j'ai mise sur mon genou, puis semble en chercher une autre. 'Non ma belle, je ne veux pas que tu deviennes un estomac sur pattes, énorme et baveux!'. Quand elle entend ma voix elle se fige. Elle écoute, un peu surprise, prête à s'enfuir. Je me tais et pose ma main sur mon genou. Elle vient la flairer, comme hier, et glisse son nez dessous, comme pour dire 'caresse moi stp! comme hier...'Je laisse doucement glisser ma main sur ses naseaux, puis je remotne délicatement mes doigts sur le chanfrein, je m'arrête à la moitié de la tête, redescends. Elle semble apprécier. Je remonte à nouveau, un peu plus haut, la sens quis e crispe et redescends aussitôt au niveau des naseaux. Elle se détend. Je masse un peu le bout du nez, remotne sur la zone où elle accepte mes mains, m'y attarde, puis, rapidement et délicatement, je remonte à nouveau pas très loin des yeux, pour redescendre toutd e suite. Elle n'a pas le tps de réagir, je suis déjà à nouveau en train de la gratouiller sur le nez. Je recommence successivement, jusqu'à pouvoir la caresser sous les yeux, puis je souffle doucement sur son nez. Elle sursaute, me regarde bizarrement. Je recommence encore plus doucement, et cette fois elle souffle à son tour sur mon visage. Je souris, caresse un peu ses naseaux, et m'en vais tout doucement. Elle me suit du regard, puis fait quelques pas timlides vers moi. Je referme la barrière et m'y appuie, sans la regarder. Elle approche, pas à pas, s'arrêtant régulièrement pour guetter autourd 'elle un piège éventuel. Ne voyant rien, elle continue son approche hésitante. Je joue avec mon portable, négligemment, mais la vois du coin d el'oeil. Elle approche encore... Finalement, quand elle est à 1m, elle tend l'encolure pour voir avec quoi je m'amuse. Je lui montre le téléphone, elle le flaire longuement, tente de le mordiller. 'Non, ça n'est aps comestible!' Elle recule quand je lui dis non, puis revient, mais elle n'apprécie pas ce mot, qu'elle doit pourtant apprendre à connaître... Elle revient donc, cherche des caresses et des carottes, les 1ères je lui donne, les dernières je n'en ai plus! Elle se contente d'un câlin, puis s'en va vivre sa vie. Je m'en vais donc assez contente, elle commence à 'maccepter.
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